Samson Penot est un artiste plasticien français.
Il vit et travaille à Bayonne, au Pays Basque, où il développe une pratique sculpturale centrée sur le bois. Ses œuvres, bas-reliefs et volumes, interrogent la manière dont le temps, les éléments et la mémoire s’impriment dans la matière.
À travers ses séries (Les Galets, INS//TEMPS), il interroge la manière dont le temps et l’érosion façonnent la matière et la pensée, transformant chaque oeuvre en témoin discret d’une mémoire en cours d’élaboration.
Représenté par la Galerie Sophie Leiser à Biarritz, son travail a été présenté dans différents contextes, notamment au Con7store Art Gallery (Biarritz), au Cinéma Royal, ainsi que lors d’expositions collectives et événements.

Samson Penot est un artiste plasticien français.
Il vit et travaille à Bayonne, au Pays Basque, où il développe une pratique sculpturale centrée sur le bois. Ses œuvres, bas-reliefs et volumes, interrogent la manière dont le temps, les éléments et la mémoire s’impriment dans la matière.
À travers ses séries (Les Galets, INS//TEMPS), il interroge la manière dont le temps et l’érosion façonnent la matière et la pensée, transformant chaque oeuvre en témoin discret d’une mémoire en cours d’élaboration.
Représenté par la Galerie Sophie Leiser à Biarritz, son travail a été présenté dans différents contextes, notamment au Con7store Art Gallery (Biarritz), au Cinéma Royal, ainsi que lors d’expositions collectives et événements.
À l’origine de cette série, il y a ce geste anodin et presque inconscient : ramasser un galet sur la plage, le faire rouler sous ses doigts, le garder dans sa poche sans réellement savoir pourquoi.
Un geste que nous avons tous répété, sans intention claire, mais qui dit beaucoup.
Car le galet est le fruit d’un long travail : il ne disparaît pas avec le temps, il s’élabore, comme nos pensées, comme nos vies.
Ramasser un galet, le faire rouler sous ses doigts, le garder sans raison. Ce geste simple dit quelque chose de notre lien à la matière, au temps, à nous-mêmes.
Dans cette serie la matière devient mémoire. Le galet, façonné par le vent, la mer, les éléments, témoigne du lent travail du temps.
Série en cours
De nouvelles pièces rejoignent régulièrement cette série.
Ici, l’océan se suspens.
Des fragments isolent le mouvement de la houle, comme des prélèvements du temps lui-même.
Ce qui semble arrêté ne l’est pas : dans chaque fragment, le mouvement persiste, fait de ce qui précède autant que de ce vers quoi il tend.
Ces sculptures ne cherchent pas à représenter l'ocean, mais à rendre visible ce qui le traverse.
Chaque pièce devient un instant habité, un monde, un océan où le présent, loin de se figer, se déploie.
Ici, l’océan se suspens. Des fragments isolent le mouvement de la houle, comme des prélèvements du temps lui-même.
Ce qui semble arrêté ne l’est pas :
dans chaque fragment, le mouvement persiste, fait de ce qui précède autant que de ce vers quoi il tend.
Ces sculptures ne cherchent pas à représenter l’océan, mais à rendre visible ce qui le traverse.
Chaque pièce devient un instant habité, un monde, un océan où le présent, loin de se figer, se déploie.
Série en cours
De nouvelles pièces rejoignent régulièrement cette série.

En néerlandais, STRAAT signifie « la rue », le lieu où l'on se croise, où l'on se vit.
En français, STRATE évoque la superposition, la mémoire accumulée, les traces laissées par le temps. Deux mots qui se répondent et donnent leur nom à une nouvelle série dans laquelle Samson Penot explore le lien entre généalogie et mémoire.
Inspirée par ses recherches familiales entre les Pays-Bas, la Belgique et la France, STRAAT relie les lieux, les noms et les visages qui composent une histoire intime et collective.
À travers différents matériaux, Samson Penot questionne la manière dont la mémoire se dépose, se transforme et se transmet.
Le projet est actuellement en cours de conception et verra le jour au printemps 2026.

STRAAT
En néerlandais, STRAAT signifie « la rue », le lieu où l'on se croise,
où l'on se vit.
En français, STRATE évoque la superposition, la mémoire accumulée, les traces laissées par le temps. Deux mots qui se répondent et donnent leur nom à une nouvelle série dans laquelle Samson Penot explore le lien entre généalogie et mémoire.
Inspirée par ses recherches familiales entre les Pays-Bas, la Belgique et la France, STRAAT relie les lieux, les noms et les visages qui composent une histoire intime et collective.
À travers différents matériaux, Samson Penot questionne la manière dont la mémoire se dépose, se transforme et se transmet.
En néerlandais, STRAAT signifie
« la rue », le lieu où l'on se croise,
où l'on se vit.
En français, STRATE évoque la superposition, la mémoire accumulée, les traces laissées par le temps. Deux mots qui se répondent et donnent leur nom à une nouvelle série dans laquelle Samson Penot explore le lien entre généalogie et mémoire.
Inspirée par ses recherches familiales entre les Pays-Bas, la Belgique et la France, STRAAT relie les lieux, les noms et les visages qui composent une histoire intime et collective.
À travers différents matériaux, Samson Penot questionne la manière dont la mémoire se dépose, se transforme et se transmet.
Le projet est actuellement en cours de conception et verra le jour au printemps 2026.
Printemps 2026
Avant les séries présentées ici, Samson Penot a réalisé d’autres pièces, plus hétérogènes dans leurs formes et leurs matières.
Certaines prenaient la forme de bas-reliefs muraux, d’autres de volumes autonomes.
Ces œuvres appartiennent aux prémices de sa démarche actuelle et témoignent d’une recherche déjà centrée sur la relation entre matière, forme et temps.
Elles ne sont pas documentées sur le site, mais restent visibles sur son compte Instagram.









